Thursday, March 11, 2010

Le côté obscur de l'Administration électronique

Nous nous habituons à mettre en rapport l'Administration électronique à ce que le citadin peut faire à travers d'Internet, comme consulter une information administrative, comme s'occuper d'une demande ou comme connaître l'état d'une procédure.

Pero l'Administración une électronique on peut aussi et il faut étendre aux nombreuses formalités internes qui sont réalisées chaque jour dans toutes les administrations publiques.

Eh bien, cette semaine le Conseil du Gouvernement Basque a donné le signal au bout pour le commencement de ce processus dans l'enceinte de notre Administration, en approuvant un Accord sur simplification et amélioration du cours des dispositions normatives avec rang de décret.

Pourquoi le cours des décrets ? Eh bien, par un endroit il fallait commencer. Et le procédé de cours de décrets va servir d'un pilote à l'étendue de ce processus de simplification et à l'amélioration du cours interne aux nombreux procédés qui se réalisent chaque jour dans l'enceinte interne de l'Administration.

Il ne faut pas dire qu'ordonner l'arrière-boutique a une répercussion directe sur le service envers la citoyenneté. Le projet qui s'initie avec cet Accord ne cherche pas la plus grande gloire de la bureaucratie interne, mais il poursuit améliorer la capacité de réponse de l'Administration publique aux nécessités citadines, dans une qualité et dans un délai.

C'est pourquoi j'explique dans ce post le contenu et la portée de cette initiative.

Le Gouvernement Basque a toujours accordé la priorité aux services externes, dirigés à la citoyenneté et aux entreprises, dans son processus d'implantation de l'Administration électronique. Il s'agissait de commencer par les services qui apportaient un bienfait direct à la citoyenneté.

Cependant, il n'est pas moins certain que le cours télématique peut aussi apporter des bénéfices très tangibles dans les formalités internes qui ne sont pas, certes, peu nombreuses. Dans l'enceinte interne quelques conditions avantageuses se rendent, de plus. Il s'agit d'un environnement contrôlé à l'heure d'installer tous les dispositifs nécessaires pour s'occuper d'une forme télématique. Il est plus facile d'effectuer le déploiement des moyens de signature électronique. On peut former 100 % des utilisateurs des services télématiques. Et le support technique devant toute incidence est plus accessible.

D'autre part, un aspect très important du cours télématique interne est sa puissance pédagogique. C'est une bonne forme de que les professionnels publics familiarisent avec les moyens télématiques, comme la signature électronique ou les documents électroniques. Ainsi quand ils leur arriveront le des citadins ils sauront mieux ce qu'ils s'apportent entre des mains.

C'est pourquoi, depuis le commencement de cette législature nous abordons le processus de digitalisation interne des services. Et nous le faisons de la même manière que nous exécutons en son temps la digitalisation des services externes. C'est-à-dire en commençant par identifier les familles de procédés et en élaborant le modèle basique de cours de chaque famille.

À partir de là, il s'agit de ce que l'infrastructure commune de cours télématique donne la réponse aux nécessités de cours de chaque famille, de telle manière que des solutions standard puissent être construites pour donner un support aux procédés internes, au lieu desquels chaque Département génère des outils particuliers pour gérer des nécessités communes.

Quand à peine nous avions commencé ce processus, le défi nous s'est posé de simplifier le cours des décrets. Nous l'évaluons comme une occasion, en abordant le travail à la manière d'un projet pilote de ce plus vaste processus de digitalisation interne.

La première solution qui venait en tête de tous était la digitalisation du procédé et l'élimination de tous les rapports qui pouvaient faciliter le cours. Mais aucun de ces objectifs ne pouvait être obtenu à court terme. La digitalisation a besoin des développements informatiques qui prennent du temps et l'élimination des rapports requiert les modifications normatives, qui prennent du temps aussi.

C'est pourquoi, nous nous posons l'objectif initial de redessiner le procédé avec un caractère préalable à sa digitalisation et, de plus, dans le cadre normatif en vigueur. Et voilà qu'il en est ressorti que des améliorations significatives d'implantation pratiquement immédiate pouvaient être faites.

En résumant assez, la première amélioration proposée consiste à habiliter un espace de travail colaborativo dans lequel chaque organe un promoteur d'un projet de décret publie l'information sur le même, de telle manière que les Départements restants du Gouvernement, et les organes qui doivent informer dans le cours du décret puissent effectuer ses apports pendant la propre élaboration du texte articulé, en évitant ainsi les divergences qui surgissent d'habitude quand le projet est déjà très avancé et tout changement suppose un contretemps sérieux. C'est-à-dire de cette façon l'élaboration du projet de décret s'initie avec une phase colaborativa, dans laquel toutes les personnes qui ont quelque chose qu'aborder sur le sujet ils disposent de l'occasion de le faire. Nous nous trouvons devant ce que nous pourrions considérer une application pratique du concept d'Administrations dans un réseau.

La deuxième amélioration significative consiste à solliciter d'une forme simultanée l'élaboration de tous les rapports obligatoires, sauf ceux de légalité et ceux de contrôle économique, qui doivent être sollicités à la fin du procédé, en vertu de sa régulation spécifique. Cette phase de cours dans une parallèle on fait coïncider aussi dans le temps avec les consultations d'autres administrations, l'information grande publique, quand il sera requis, et avec les allégations de parties possibles intéressées.

De telle manière que l'Accord du Conseil du Gouvernement a approuvé, d'une part, le nouveau procédé de cours des décrets et, par l'autre, il effectue deux requêtes : la digitalisation du procédé et la proposition de modifications normatives dirigées à réarranger ou à éliminer les rapports qui ne sont pas indispensables ou qui peuvent être substitués par d'autres formes plus efficientes d'intervention.

Ainsi, quelques résultats de courte durées sont obtenus, avec le redessin du procédé dans le cadre normatif actuel, et les comportements précis se disposent pour l'obtention d'autres objectifs à moyen terme.

En plus du contenu de ce travail, il me semble intéressant de refléter la forme dans laquelle il s'est réalisé : grâce à un groupe technique dans lequel ont été représentées toutes les parties qui interviennent au cours des projets de décrets. C'est-à-dire on n'a pas chargé le travail un organe spécialisé, ni une consultante externe, ni un savant de prestige reconnu, mais ce modèle de cours a été élaboré directement par un groupe de professionnels publics de la viande et de l'os qu'ils connaissent le sujet de première main, parce que le cours de décrets fait une partie de son travail quotidien. Et ce groupe de professionnels publics ont démontré sa capacité de travail dans une équipe et d'élaborer des propositions excellentes pour améliorer le fonctionnement de l'Administration publique. J'ajoute ici que mon expérience a toujours été positive, chaque fois que j'ai connu des processus colaborativos, dans lesquels les professionnels publics ont eu l'occasion de travailler dans une équipe sans plus des limites que la législation en vigueur.

Le modèle de cours approuvé grâce à cet Accord va mener à la pratique de forme effective parce que nous allons charger de nous réaliser toutes les actions de communication et de formation nécessaires pour cela. C'est-à-dire nous allons être préalables pour que cet Accord ne reste pas dans un papier mouillé.

Et, dans une parallèle, nous nous sommes déjà mis à travailler avec les requêtes réalisées dans l'Accord, en commençant par la digitalisation du procédé.

J'espère pouvoir informer bientôt des avances qui se produisent.

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